1. 2. Cette scène se reproduit à l’infini, des centaines de routes vides quadrillent le désert, comme si l’homme voulait se convaincre…

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  1. 3. Parfois, des poteaux électriques par milliers bordent ces routes.

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  1. 4. Car quelques êtres bien solitaires ont décide d’habiter le désert, fuir la ville et la communauté, pour se retrouve seuls avec eux-mêmes.

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  1. 5. La Death Valley regorge de magnifiques points de vue. Ici, une vue sur Badwater, le point le plus bas du continent (80 mètres sous le niveau de la mer).

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  1. 6. Ces immensités semblent marquées par le temps, autant dans leurs formes…

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  1. 7. … que dans leurs couleurs (“La Palette des Artistes”).

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  1. 8. Toujours ces routes, à l’infini…

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  1. 9. Un long chemin de sel, sur ce plateau qui était il y a quelques millions d’années un fond marin…

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  1. 10. Et nous voilà à nouveau devant cette immensité, cette immensité dont je parlais dans l’introduction de cet article.

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  1. 11, 12 et 13. Quelques images prises sur le chemin du retour, en passant par Big Bear City, une petite station de ski (11), puis en redescendant vers Los Angeles au coucher du soleil (12, 13)

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La traversée du désert, pour ce site aussi? Je suis désolé de ne pas avoir publié mes photos ces derniers temps: beaucoup n’en valaient pas la peine, les autres étaient souvent plus personnelles; je suis en ce moment en stage à Washington et je devrais avoir l’occasion de vous montrer de bien belles choses sous peu…