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#73 | Des clichés au Paradis

Une dizaine de photos volées exposées au Paradis - un bel endroit, vraiment…

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La photographie, c’est un peu une façon de vivre. Un désir de voir toutes ces petites choses qui nous entourent, une volonté de les montrer. Ces images sont un regard sur Paris – regard quotidien s’efforçant d’être attentif à ces courts et subtils instants : un regard, un geste, un souffle.

Venez jeter un oeil! Ca se passe au café le Paradis, 76 rue Saint Martin (4e, Paris)

#72 | La photographie des sentiments

Il n’y a pas de vérité dans le portrait — même en photographie. Le photographe américain Richard Avedon, commentant sa série In the American West, disait « Mes portraits sont davantage un reflet de moi-même que des personnes que je photographie ». Chaque image transporte une multitude d’interrogations et de significations, autant sur le sujet que sur son photographe — et chaque spectateur en fera une interprétation qui en dira tout autant de lui-même. Parce que les images de cette série foisonnent d’émotions et parce que chacun y lira quelque chose de différent et d’unique, j’ai demandé à plusieurs personnes de trouver un titre à ces images — en un mot. Juste un mot.

  1. 1. L’ailleurs, Parc Monceau, octobre 2011.

Louise

Une quinzaine de portraits dans la suite du billet.

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#67 | Fragments

Twinkle, twinkle, little star
How I wonder what you are
Up above the world so high
Like a diamond in the sky

Des images tristes, des images heureuses; des images seules, des images amoureuses. Des fragments d’un printemps passé à redécouvrir un Paris qui renferme encore bien des charmes.

  1. 1. Dans le calme de Fontainebleau, mai 2011

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Toutes les images dans la suite.

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#63 | « Bleue, bleue, notre enfance... »

« Bleue, bleue, notre enfance fut un paradis : on s’en aperçoit bien trop tard aujourd’hui » chantait Charles Trénet il y a un demi-siècle… Pour illustrer ces jolies paroles, des images simples et humbles d’une petite balade le long du Canal Saint-Martin et vers l’Hôpital Saint-Louis. Je ne sais pas si notre enfance fut un paradis bleu, mais Paris en hiver peut parfois y ressembler !

  1. 1. Enfant, le long du Canal Saint-Martin, décembre 2010

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Une petite dizaine d’images dans la suite :)

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#61 | Le Centquatre

Le Centquatre… Cet espace culturel situé 104 rue d’Aubervilliers a suscité de nombreux débats, de par son emplacement, sa programmation… Toujours est-il que ce soir là, une atmosphère particulière s’en dégageait. Loin d’être le lieu décrit habituellement comme vide et froid, le Centquatre vivait ; dans la nef curial, des danseurs et des musiciens se retrouvaient, alors que juste à côté les préparatifs du salon artistique qui avait lieu ce week-end là allaient bon train. Dans la grande cour, ce manège, étrange et intemporel, trônait, attendant d’être mis en marche les jours suivant. En bref, un brin de chaleur dans un hiver bien froid.

  1. 1. Danseurs sous le Nef Curial, décembre 2010

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Une dizaine d’autres images sans prétention de ce bel endroit dans la suite!

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#59 | « Sur la même ligne de mire la tête, l'oeil et le coeur »

Des photos de Paris, de jour cette fois-ci, dans la continuité de mon dernier billet. Ici, il s'agit de partir à la recherche de l'« instant » qui a guidé toute la vie et toute l'oeuvre de Henri Cartier-Bresson. Pour le néophyte que je suis, c'est surtout la recherche d'un bref regard, d'un geste fugitif, d'une éphémère symétrie. Fruits de cette recherche, des photos simples, un peu naïves. Des instantanés parisiens, en quelque sorte.

  1. 1. Fotografi, Saint-Germain des Prés, novembre 2010.

Instantanés parisiens

Plus d'images dans la suite!

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#60 | L'amour tout court

Paris, au crépuscule, Paris la nuit. Joli thème, pour faire revenir ce site à la vie. La tombée de la nuit... ou le moment où l'on oublie un petit peu ce qui nous entoure, où l'on se retrouve seul, avec soi ou avec l'autre - et donc le paradis de la photo volée. Ici, photographier, c'est un peu rendre la nuit plus claire, et sa beauté moins sombre pour tous.

  1. 1. La nostalgique du Pont des Arts, novembre 2010.

Instantanés parisiens

Une dizaine d'autres images dans la suite.

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#56 | Instants de vie... argentiques

Leur bruit mécanique, leurs mécanismes anachroniques, leur utilisation compliquée... Oh, le charme des vieux appareils photo. Il y a quelques mois, j'ai investi pour quelques dizaines de dollars dans un appareil photo moyen format argentique vieux de 40 ans. Parfois, pour nourrir sa créativité, le plus intéressant est de se donner une nouvelle série de contraintes, afin d'oublier ses automatismes et à s'obliger à mieux penser chaque image... Voici le résultat de trois mois de photographie argentique, de Big Sur (Californie) aux petits villages du sud de la France: dites-moi si vous êtes aussi sous le charme de ces images si spéciales...

  • 1. Une image volée, entre des pivoines et des roses (vers République, Paris)

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#46 | C'est l'histoire d'un mec...

Ouep, un mec, un vrai de vrai. Il aura fallu attendre plus d’un an de portraits pour enfin voir un mec débarquer dans mon viseur… Pourquoi? L’explication se trouve probablement du côté des relations entre le photographe et son sujet, du ressenti du photographe et de son attirance pour le sujet, qui lui permettent de le présenter sous son meilleur jour. Pour un garçon, c’est différent, on engage des critères changeant: la beauté est toujours là, mais il faut apprendre à osciller entre virilité et tendresse, sérieux et humour… Pour cette première séance, je suis allé me balader autour du Canal Saint Martin avec Cristian…

  1. 1. On a commencé du côté du mur tagué, quai de Valmy.

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Une trentaine d’images dans la suite.

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#44 | Et si tu devais choisir une photo?

Cette année, j’ai pris 24.000 photos, soit en moyenne une soixantaine par jour. 24.000 photos, toutes sortes de photos, des conférences sur le conflit en Georgie pour Sciences Po aux portraits de Margaux en passant par des mariages et des voyages. Yann me demandait nonchalamment — ce n’est pas le premier — d’en choisir une. Choisir une photo, une seule, sur 24.000. Difficile, comme exercice d’autant que je suis pas du genre à imposer mes choix… En réalité, une photo non publiée me vient à l’esprit. Elle a été prise alors que je passais à côté d’une église. Un mariage, le tournant d’une vie, un instant volé, dans l’entrebâillement d’une porte: ça m’a vraiment touché, et c’est pour cela que je l’ai choisie (à ce propos je crois que je suis le seul photographe de mariage qui verse une larme quand les futurs époux se disent “je le veux”).

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#43 | Lebanese Song

Il y a des lieux dans lesquels on n’aurait pas idée de venir faire des photos… Et pourtant ce sont souvent des petites merveilles, terriblement isolées et originales, à la fois pittoresques et fantastiques. Clara a eu l’idée de m’amener dans l’un d’eux, la cour intérieure de l’hôpital Cochin, pour une séance photo à l’ombre de petites galeries. Ce lieu était simplement splendide, et, pour ne rien gâcher au plaisir, on a croisé absolument personne. J’espère que toutes ces photos vont vous plaire, à la hauteur du plaisir qu’on a pris à les faire.

  1. 1. Je vous présente donc Clara, dans les galeries de l’hôpital Cochin.

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Toutes les autres images sont dans la suite!

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#41 | Dry Grass and Shadows — Marguerite au Trocadéro

Jolie façon de se dire au revoir, que d’organiser une séance photo en forme d’adieu. Environ un an après nos premières photos, voilà enfin une séance photo complète avec Marguerite. Des photos pas toujours extravagantes ou spécialement originales, mais des photos qui respirent le bonheur, l’impatience du départ, la joie du renouveau, la confiance en l’avenir… De belles photos, donc.

  1. 1. Marguerite a commencé par dire au revoir aux canards du Trocadéro.

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Tout le reste de la séance dans la suite!

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